LIVRAISON OFFERTE EN FRANCE MÉTROPOLITAINE DÈS 150€ HT

Un peu d’histoire…


Le chanvre est une des premières plantes domestiquées par l’homme, au Néolithique, probablement en Asie. Il a ensuite accompagné migrations et conquêtes pour se répandre sur tous les continents. Jadis, le Cannabis, était considéré comme une plante magique associée aux pratiques magiques. L’usage rituel du cannabis comme psychotrope est attesté il y a 2500 ans à Jirzankal, Chine.


Les fibres de chanvre servaient à confectionner des vêtements en Chine 600 ans av. J.-C., en Europe au Moyen Âge. Les vêtements royaux occidentaux étaient souvent constitués de mélanges de chanvre et de lin. La première Bible imprimée par Gutenberg l’aurait été sur papier de chanvre. Le papier de chanvre est utilisé jusqu’au 19ème siècle. Au début du 20ème siècle, en Europe, les fibres de chanvre furent remplacées par le coton, originaire des États-Unis. Plus récemment, ces fibres résistantes et à portée de main, ont servi à fabriquer des vêtements militaires lors des deux guerres mondiales. À la fin de la Seconde Guerre mondiale, elles furent remplacées par des fibres synthétiques, au tissage plus régulier. Les fibres ont longtemps été utilisées pour fabriquer les billets de banque avant d’être remplacées par de l’ortie. Elles ont également pendant longtemps été utilisées pour tisser les voilures des bateaux en plus des cordes et cordages.


Le chanvre était également considéré comme une plante magique. Il était utilisé dans les rituels funéraires : la fumée de l’herbe séchée et brûlée sur des pierres ardentes en présence du défunt était censée déconnecter du monde matériel pour permettre de parler aux esprits.


Traditionnellement utilisé pour faire des cordages, du papier ou des textiles résistants, le chanvre moderne est cultivé plus particulièrement pour ses qualités d’isolant phonique et thermique. Le béton de chanvre et les briques de chanvre permettent en plus de réguler la vapeur d’eau des murs et la laine de chanvre est réputée plus saine que les isolants traditionnels.


Le chènevis est utilisé entier, pour la consommation humaine ou animale, mais on peut aussi en faire de l’huile, des boissons ou de la farine.


Enfin, la chènevotte, c’est-à-dire la moelle centrale de la tige, est également proposée en litière ou comme paillis. Le chanvre est, légalement ou non selon les pays, largement utilisé pour les propriétés psychotropes induites notamment par la présence de tétrahydrocannabinol (THC).

CBD est l’abréviation du terme « cannabidiol » (CannaBiDiol)


Cette molécule fait partie des nombreux cannabinoïdes (104 selon l’OMS) présents dans le chanvre.

Les cannabinoïdes sont un groupe de substances chimiques qui activent les récepteurs cannabinoïdes présents dans le corps humain et chez les mammifères.


Historique : 


Ces cannabinoïdes ont été découverts la première fois dans les années 1940, quand le cannabidiol (CBD) et le cannabinol (CBN) ont été identifiés. La structure du tétrahydrocannabinol (THC) a été déterminée la première fois en 1964 par le Pr. Raphael Mechoulam, chercheur israélien. À cause de la similitude et de la facilité moléculaire de la conversion synthétique, on a cru à l’origine que le CBD était un précurseur normal du THC. Cependant, on sait maintenant que le CBD et le THC sont produits indépendamment dans le cannabis.


Il existe 3 types de cannabinoïdes :


 les cannabinoïdes végétaux (phytocannabinoïdes), présents dans la plante de chanvre.

 les cannabinoïdes endogènes (endocannabinoïdes) sécrétés par certains organismes animaux.

 les cannabinoïdes synthétiques, élaborés en laboratoire.


Pour la fabrication de ses huiles, gélules et capsules, le Laboratoire ALEPH utilise exclusivement des cannabinoïdes végétaux, issus de la plante de chanvre.

Le tétrahydrocannabinol (THC), le cannabidiol (CBD) et le cannabinol (CBN) sont les plus répandus et ont été les plus étudiés. Par hybridation, on a pu isoler des espèces de plantes de chanvre produisant en plus grande quantité l’un ou l’autre de ces cannabinoïdes. Par exemple, le chanvre cultivé, principalement destiné à la production de fibres, contient de faibles quantités de THC mais plus de CBD et d’autres cannabinoïdes non psychoactifs. 


Autres exemples de cannabinoïdes :

    • CBC ou cannabichromene

    • CBG ou cannabigerol

    • CBL ou cannabicyclol

    • CBV ou cannabivarol

    • THCV ou tétrahydrocannabivarine

    • CBDV ou cannabidivarine

    • CBCV ou cannabichromevarine

    • CBGV ou cannabigerovarine

    • CBGM ou cannabigerol monoethylether

Le THC et le CBD proviennent du cannabis. Les deux sont des cannabinoïdes. La consommation de ces deux molécules agit différemment sur l’organisme humain. Le THC a un effet psychoactif tandis que le CBD possède un effet non psychoactif. 


La structure chimique des deux molécules contient les mêmes atomes, mais la disposition et l’équation bilan des substances chimiques sont différentes. Les deux molécules interagissent avec différents récepteurs de l’organisme ; en effet le THC préfère agir avec les récepteurs au niveau du cerveau alors que le CBD agit sur les récepteurs se trouvant au niveau du corps.


La différence fondamentale entre le THC et le CBD se situe également sur la légalité. En effet, le THC est strictement proscrit. En revanche le CDB est reconnu comme un complément alimentaire du fait de ses bienfaits.

 

Les effets du CBD :


Le CBD a des effets sur l’organisme humain, mais il n’est pas psychoactif et il n’entraîne pas de dépendance à sa consommation. Dans un usage bien-être, des effets de détente et de relaxation sont constatés. Dans ce cadre de bien-être, la vente et la consommation de CBD sont libres. 


Les huiles, gélules et capsules au CBD du Laboratoire ALEPH s’inscrivent dans ce cadre de bien-être et n’ont aucune prétention thérapeutique. 


Au plan médical, des études sont actuellement menées pour vérifier et mesurer les effets de cette molécule, notamment sur les douleurs du système nerveux, la régulation de l’humeur (propriétés anxiolytiques), toutes les manifestations liées, de près ou de loin, à la dépression, et ses effets antidouleurs et anti-inflammatoires. D’autres affections, des plus légères (acné) aux plus lourdes (sclérose en plaques) pourraient être traitées à travers un usage thérapeutique du CBD. Le CBD est présent dans la composition de certains médicaments. Il est également utilisé pour le traitement de l’épilepsie. Pour un usage médical, il est indispensable de consulter un médecin, seul habilité à prescrire un traitement. 


Les effets du THC : 


La prise du THC provoque des effets psychoactifs. Le THC agit directement sur le système récepteur de l’organisme provocant une réaction vive et permettant à son sujet de planer et d’être hors de contrôle. 


La consommation de THC en dehors de tout contrôle médical est interdite. Elle peut provoquer des effets indésirables forts, ainsi que des problèmes de santé. La consommation de THC crée une dépendance, contrairement aux autres cannabinoïdes. Le THC est une drogue au sens de la législation, lorsque sa concentration est au-delà de 0,3% dans un produit. Des études ont également montré qu’une consommation régulière de cannabis chez l’adolescent induit une baisse irréversible du QI et favorise l’apparition de troubles psychotiques. 


Les huiles, gélules et capsules au CBD du Laboratoire ALEPH ne contiennent pas de THC. 


Le THC possède également des effets médicamenteux. Avec un grand soin, il est utilisé  sous prescription et contrôle médical  pour traiter l’insomnie, le manque d’appétit et les nausées, les spasmes musculaires et certaines douleurs.

Cannabis (les cannabis) est un genre botanique qui rassemble des plantes annuelles de la famille des Cannabaceae.

La classification dans ce genre est encore discutée. Selon la majorité des auteurs il contiendrait une seule espèce, le Chanvre, parfois subdivisé en plusieurs sous-espèces, généralement Sativa (chanvre cultivé), Indica (chanvre indien) et Ruderalis (chanvre sauvage), tandis que d’autres considèrent que ce sont de simples variétés.

Les plantes riches en fibres et pauvres en Tétrahydrocannabinol (THC) donnent le « chanvre agricole » qui pousse dans les zones tempérées, exploité pour ses sous produits (fibres, graines...) aux usages industriels variés, tandis que le « chanvre indien » ou « cannabis », qui pousse en climat équatorial, est au contraire très riche en résine et exploité pour ses propriétés médicales et psychotropes. 


De nombreuses lignées de cannabis sont, en outre, obtenues par hybridation entre sous-espèces ou variétés du genre, par sélection des plantes ou encore par le bouturage qui permet de les cloner à l’identique. Ainsi les plants sont triés en fonction de l’usage que l’on souhaite en faire ou de la législation locale : qualité de leurs fibres, richesse en huile de leurs graines (chènevis), leur faible taux de THC ou, au contraire, leur concentration élevée en cannabinoïdes dans le cadre des usages médicaux ou comme drogue.


Généralement, on désigne les variétés contenant moins de 0,3 % de THC sur extrait sec comme « Chanvre », tandis que les variétés contenant plus 0,3 % de THC sont appelées « Cannabis ».

Une fois dans le corps, la plupart des cannabinoïdes sont métabolisés dans le foie, bien qu’une partie soit stockée dans les graisses.


Le delta-9-THC est métabolisé en 11-hydroxy-delta-9-THC, qui est alors métabolisé en 11-nor-9-carboxy-delta-9-THC.


Quelques métabolites du cannabis peuvent être détectés dans le corps et les urines après plusieurs semaines d’abstinence.

Le système endocannabinoïde est un système de communication physiologique, composé de récepteurs membranaires CB1 et CB2, de ligands et d’enzymes responsables de la synthèse et de la dégradation de ces molécules. Le récepteur CB1 a été découvert en 1988 et a mis en évidence le fonctionnement du THC, responsable des effets euphorisants de la molécule. Le premier de ces composés fut isolé en 1992 et fut nommé anandamide (le nom vient du sanskrit Ananda, déesse de l’éternelle suavité). L’anandamide a un mode d’action très proche de celui du THC même si sa structure chimique est différente, il possède une grande affinité pour CB1.


Les endocannabinoïdes sont des dérivés d’acide gras formés à partir des lipides contenus dans les membranes de ces cellules. Ils sont capables d’activer les récepteurs CB1 et CB2 à la demande en réaction à un stimulus, ne sont pas stockés dans le corps, agissent localement et sont dégradés après leur synthèse.


L’avancée des recherches a permis de découvrir de nouveaux médiateurs : cinq endocannabinoïdes sont identifiés : trois sont apparentés à l’anandamide, les deux autres sont le 2-arachidonoyl glycérol (2-AG), et le 2-AG éther. Mais les chercheurs pensent qu’il en existe environ une dizaine.


Les dernières recherches visent à isoler les endocannabinoïdes comme essentiels dans le fonctionnement de l’organisme du fait de leur nombre beaucoup plus important que n’importe quel autre récepteur, ce qui permettrait d’expliquer les effets systémiques et généraux du cannabis et la variété de ses applications thérapeutiques. Ils stimuleraient notamment la libération d’autres neurotransmetteurs et pourraient jouer un rôle dans la fertilité des spermatozoïdes.


Les endocannabinoïdes sont rapidement éliminés, alors qu’au contraire, la consommation de cannabis induit une concentration massive de THC. Si ce dernier se fixe sur les mêmes récepteurs, sa présence est telle que sa concentration ne peut être rapidement éliminée, ce qui modifie notablement ses effets.

Tous les tests de drogues salivaires présents sur le marché ont été conçus pour détecter le THC dans la salive. Le réactif du diagnostic in vitro (IVD) est calibré pour ne repérer que du THC et non pas le CBD, puisque ce dernier est une molécule complètement différente.

A savoir que les tests salivaires THC ne sont pas des dispositifs IVD de classe médicale, il se peut parfois que des « faux positifs » soient établis. Si vous consommez du CBD et que cela vous arrive, il est fort probable que ce soit un test erroné.

Pour obtenir des extraits de cannabinoïdes qualité premium, il faut des matières premières de la meilleure qualité. 


Le Laboratoire ALEPH sélectionne des variétés de chanvre riches en cannabidiol, produites selon un cahier des charges strict, notamment sans pesticide ou autre produit chimique et sans OGM

L’extraction à base d’huile est la plus simple et la plus artisanale. Elle peut être mise en œuvre par tout un chacun. Elle a l’avantage de se faire sans aucun produit chimique mais présente aussi des inconvénients : Les produits obtenus par cette méthode ont une faible teneur en CBD. Puisque ce type d’extraction se fait à chaud, les cannabinoïdes sont altérés au cours du processus. De plus, ils ont une durée de conservation limitée. Ce procédé de production se limite à un usage personnel.


La deuxième méthode, peu chère, est l’extraction à l’aide de différents hydrocarbures tels que l’alcool isopropylique, l’éthanol, l’hexane, le propane ou encore le butane. Toutes ces substances sont suffisamment toxiques pour l’homme et il est pratiquement impossible de supprimer les traces de solvant utilisé au cours de l’extraction dans le produit final. Par conséquent, lors de l’achat d’un produit bon marché, il convient de se demander s’il a été produit à l’aide de cette méthode.


La troisième méthode est l’extraction par dioxyde de carbone. Cette méthode dite « au CO2 supercritique » est réalisée en utilisant du dioxyde de carbone dans des conditions de haute pression et de températures extrêmement basses. Cette méthode nécessite l’utilisation d’un équipement complexe de haute technologie et des connaissances poussées en Thermodynamique, en Physique et en Chimie ; elle est réservée aux professionnels. C’est la manière la plus propre (pas d’utilisation d’additifs ou contaminants), la plus sûre et la plus efficace pour extraire le CBD. Les aspects hautement contrôlés du processus permettent d’obtenir des extraits de cannabinoïdes très purs et exemptes de résidus, qui seront incorporés dans de l’huile de chanvre ou de l’huile MCT.


Le Laboratoire ALEPH utilise la méthode au CO2 supercritique pour extraire le CBD et les autres cannabinoïdes des plantes de chanvre.

Attention, il ne faut pas confondre « huile de chanvre » et « huile au CBD ».  


Huile de Chanvre : 


L’huile de chanvre est obtenue par pressage des graines de chanvre et jouit d’une excellente réputation diététique, en raison de sa teneur en acides gras de type oméga 3 (dont des oméga 3 SDA) et oméga 6 GLA (Acides Gamma Linoléique) ainsi qu’une faible teneur en Acides Gras Saturés.  


Non-filtrée, elle a une couleur verte plus ou moins foncée selon les variétés. Elle a un goût de noisette pour certains. On la trouve en vente dans les boutiques bio ou naturelles et des boutiques spécialisées de vente d’huile, producteurs et revendeurs et depuis peu certains supermarchés.


Huile au CBD : 


L’huile au CBD est de l’huile à laquelle on a incorporé du CBD. L’huile en question peut être de l’huile de chanvre, mais aussi de l’huile MCT (issue de la Noix de coco), de l’huile d’olive ou même de l’huile de tournesol.


Le plus souvent, c’est l’huile MCT qui est utilisée car elle permet une dissolution optimale des cannabinoïdes et elle est neutre en termes de goût. Il est aussi courant d’utiliser l’huile de chanvre si l’on souhaite conserver le goût caractéristique de cette plante dans le produit fini d’huile au CBD. 

Le terme d’« huile au CBD » est d’ailleurs souvent réducteur. En général, ces huiles contiennent en effet beaucoup plus que du seul CBD. Les huiles du Laboratoire ALEPH, par exemple, contiennent toutes les molécules de la plante de chanvre (sauf le THC), notamment du CBD, du CBG, du CBN, du CBC, etc.

Par voie orale


Cette méthode présente l’avantage de neutraliser, voire d’éliminer, la saveur particulière du produit (plutôt amère) qui ne plaît pas à tout le monde. En apposant quelques gouttes d’huile de cannabidiol sur un aliment ou en les mélangeant à un liquide, le goût baisse en intensité, voire disparaît complètement. Il est également possible de s’en servir pour cuisiner, en mêlant quelques gouttes à une huile classique. Toutefois, cette méthode rallonge le délai dans lequel les effets bénéfiques du cannabidiol se font sentir.  


Par voie sublinguale 


C’est la méthode la plus souvent recommandée pour absorber du cannabidiol sous cette forme. Les huiles au CBD sont présentées sous forme de petites fioles équipées d’un compte-goutte, celui-ci permettant de doser précisément la quantité de produit ingérée. Il suffit de déposer la quantité voulue de gouttes sous la langue. L’avantage de ce mode de consommation, c’est sa rapidité d’action : en étant absorbée par les muqueuses, l’huile au CBD produit ses effets très rapidement, environ 10 minutes après l’ingestion. L’inconvénient, c’est le goût : l’arôme végétal très prononcé de cette huile, malgré la présence de terpènes, peut s’avérer gênant pour certains consommateurs.


Posologie de l’huile au CBD 


La concentration en CBD est liée à la quantité de CBD contenue dans le flacon. Un raisonnement simple à avoir en tête est que la dose de CBD dans 2 gouttes d’huile de CBD concentré à 5% sera équivalente à la dose présente dans 1 goutte d’huile de CBD dosée à 10%. Au-delà donc de la concentration d’huile de CBD, c’est la quantité de CBD recherchée qui est un facteur clé de choix dans votre huile. Voici ci-dessous un tableau qui vous donnera le nombre de mg de CBD par goutte d’huile en fonction de la concentration de votre flacon.




Placer 1 à 4 gouttes d’huile sous la langue, 1 à 3 fois par jour, attendre 90 secondes et avaler.


Qu’est-ce qu’une gélule au CBD ?


C’est un autre moyen simple et efficace de prendre du CBD. Les gélules sont des compléments alimentaires, élaborées à partir d’huile à spectre large, 100% véganes et naturelles. Ces gélules sont sans goût, faciles à avaler et conçues pour être directement assimilable par le corps. Son contenu est entouré d’une enveloppe solide qui évite les fuites. 


Chez ALEPH, toutes nos gélules sont à spectre large, regorgent de terpènes (myrcène, limonène, alpha-pinène, linalol, humulène, caryophyllène) et de flavonoïdes. Elles contiennent majoritairement du CBD et d’autres cannabinoïdes (CBG, CBN, CBD), mais pas de THC. Les gélules renferment des vitamines A, B, C et E ainsi que des oméga-3 et 6. Elles sont également une source de zinc, de potassium, de fer, de calcium et de phosphore.


Posologie d’une gélule au CBD  


La concentration de CBD dans une gélule varie selon la quantité de CBD contenue dans une boîte. Ainsi, il suffit de diviser le nombre de gélules par CBD contenu dans une boîte.




Nous conseillons d’ingérer avec de l’eau, 1 à 3 gélules par jour et à l’adapter selon les besoins.


Qu’est-ce qu’une capsule au CBD ? 


Tout comme les gélules, les capsules au CBD sont des compléments alimentaires faciles à avaler. À la différence des gélules, les capsules ont une fine membrane qui évite les fuites.


Dans notre laboratoire ALEPH, nos capsules sont riches en CBD et en phytocannabinoïdes mineurs tels que le CBG, le CBN ou le CBC et plus de 40 terpènes naturellement présents dans la plante. Elles sont fabriquées à partir d’une extraction de chanvre soluble dans l’eau. La formule hydrosoluble est composée d’une émulsion qui augmente la biodisponibilité des cannabinoïdes, 3 à 5 fois plus élevée que les formes traditionnelles à base d’huile. Une absorption accrue et régulière (avec ou sans jeûne) entraîne des réponses biologiques prévisibles et une meilleure efficacité.


Posologie d’une capsule au CBD 


Le calcul est le même que pour une gélule, la concentration de CBD va varier selon la quantité de CBD présente dans une boîte.



À ingérer avec de l’eau, 1 à 3 capsules par jour. À adapter selon les besoins.

Par voie orale 


Les gélules ou les capsules au CBD ont le même mode de consommation. Il faut les ingérer avec un verre d’eau. C’est un moyen de consommation rapide et discret. Les effets seront un peu plus longs à se manifester, puisque les cannabinoïdes doivent atteindre le système digestif pour être efficaces.


Mais au fait, les huiles, gélules et capsules au CBD, sont légaux ?   


Après des années de flou juridique entre des lois françaises et européennes contradictoires, un arrêté gouvernemental a été publié le vendredi 31 décembre 2021 au Journal Officiel et précise le cadre d’industrialisation et de commercialisation de la molécule de CBD : 


«La vente aux consommateurs  de fleurs ou de feuilles brutes  sous toutes leurs formes, seules ou en mélange avec d’autres ingrédients, leur détention par les consommateurs et leur consommation» est prohibée, détaille ainsi le texte.


Ainsi, c’est l’usage de fleurs ou feuilles brutes qui est prohibé. L’explication donné par le législateur est la difficulté, pour les forces de l’ordre, à distinguer des fleurs de CBD et des fleurs de cannabis lors de contrôles sur la voie publique. D’autant que les fleurs et feuilles brutes sont le plus souvent destinées à être consommées par combustion (elles sont fumées), ce qui peut aussi entrainer des problèmes de santé (la combustion est cancérogène). 


Sous réserve de respecter certaines autres conditions de provenance et de variété des plantes de chanvre utilisées pour l’extraction, les cannabinoïdes du chanvre, en dehors du THC dont la présence est encadrée par la loi, sont donc autorisés. 


Le but du législateur est d’encadrer strictement l’usage de la molécule de THC, psychoactive, et ne vise en aucun cas les autres molécules du chanvre. 


Notamment le CBD sous toute autre forme que des feuilles ou des fleurs brutes, est parfaitement légal.


Les huiles, gélules et capsules au CBD du Laboratoire ALEPH s’inscrivent dans le strict respect de la loi française.